Economie solidaire

Publié le par Cécile&Lydie

« Pour un développement durable, il ne faut pas forcément consommer moins, mais mieux ». C’est le leitmotiv de l’économie solidaire et de la consommation responsable. En quelques mots, il s’agit d’acheter et d’utiliser le pouvoir de notre porte-monnaie en se questionnant sur le produit dont on va faire l’acquisition : D’où vient-il ? Dans quelles conditions a-t-il été fabriqué ? Par qui ? Comment est-il arrivé jusqu’à nous ? Qui le distribue ? A qui reviendront les profits ?...

Les prochains exemples que nous avons croisés à Madagascar démontrent que les actions d’économie solidaire sont nombreuses et pérennes puisqu’elles sont rentables. Pas besoin de soutien extérieur pour que ça marche. Juste besoin de consommateurs citoyens...

TAPIS MOHAIR, chefs d’œuvre de la brousse
Ampanihy

 
Au cœur d’Ampanihy, petite bourgade située à la frontière des pays mahafaly et antandroy, la filature d’Eric Mallet confectionne depuis 10 ans de somptueux tapis dont le prestige est à la hauteur de la production d’antan, l’époque faste des années 50 et 60.

Son secret de fabrication, il le doit à son amour du pays et à une détermination hors du commun. L’aventure débute au large de Madagascar, là où le voilier qu’il était chargé de convoyer subit de graves avaries. Débarqué sur la grande Ile, le voilà qui décide de se rendre à Ampanihy car les tapis de la région font partie de ses souvenirs d’enfance (avec une maman commissaire-priseur !). Malgré la rudesse de cette contrée difficile d’accès, soumise régulièrement à de sévères sécheresses, Eric est emballé. Suite à sa rencontre avec Delis et Modeste, deux malgaches du coin, il décide de relancer une activité exsangue. Ce sont plusieurs années de travail et d’investigation pour trouver une qualité maximale en terme de fils et de couleurs. Eric met donc au point un fil unique au monde dont le calibre lui permet de proposer un tapis noué main de 70000 nœuds par mètre carré. Il embauche désormais une cinquantaine de tisserandes locales et trois hommes qui testent toujours de nouvelles couleurs pour diversifier son nuancier. Dans cet univers aride, la confection de tapis mohair est une bénédiction et une fierté pour la région. Et ici, tout le monde appelle ce fou passionné, Eric Tapis !

Vous voulez participer à l’économie locale de l’Androy, achetez un tapis mohair !
Depuis Paris, contactez Eric Mallet à Ampanihy : letapismalgache@wanadoo.mg , il exporte ses tapis partout à travers le monde. Des prix de 300 à 600 euros.
Si au cours d’un périple à Madagascar, vous avez la chance de passer à Tuléar, rendez vous à son Show Room, dans la rue des Coquillages et allez admirer ses pièces.
Enfin, si l’aventure vous mène jusqu’à Ampanihy, rendez lui une petite visite, tout le monde pourra vous indiquer ses ateliers, Eric se fera un plaisir de vous faire partager sa passion.

 

 

 

 

LA MAISON DE L’EAU DE COCO - Ambositra

Travail et dignité pour les femmes détenues

Madame Vola, gérante de la boutique des produits artisanaux des détenues, nous introduit dans l’atelier au sein de la prison. A l’étage, dans une grande salle lumineuse, sur des nattes de joncs, plusieurs femmes s’activent sur des métiers à tisser, des fils à rouer, tressent paniers et nattes ou crochent chapeaux et sacs. L’association L’Eau de Coco, par son travail actif depuis 2 ans dans plusieurs prisons malgaches, permet aux femmes une réinsertion sociale à leur sortie.

Durant leur détention, les femmes qui le souhaitent, et suivant leurs affinités, sont formées aux métiers à tisser ou tresser. Deux tiers de la vente du produit reviennent aux bénéficiaires, ce qui leur permet d’améliorer leur quotidien (A Madagascar, le service pénitentiaire ne nourrit les détenus que partiellement, c’est leur famille qui doit subvenir à leurs besoins). A la sortie, chaque femme bénéficie d’un kit de départ de matières premières pour exercer une activité génératrice de revenu dans sa région d’origine. L’Eau de Coco effectue par la suite un suivi auprès de chaque femme libérée afin d’évaluer la formation acquise et leur proposer du travail lorsque les demandes des clients sont importantes.

 

Vous souhaitez aider La Maison de l’Eau de Coco, achetez ses produits !
Vous pouvez la contacter via le site de l’ONG Bel Avenir : www.ongbelavenir.org
Vous avez d’autres idées ou des débouchés pour ces beaux produits d’artisanat malgache, contactez son directeur, José-Luis Guirao, à : belavenir@wanadoo.mg
Surtout, ne manquez pas la boutique en passant à Ambositra. Retrouvez également la boutique « L’Eau de Coco » à Fianarantsoa et celle du « Cinéma Tropic » à Tuléar.
De beaux cadeaux et souvenirs à rapporter dans ses valises.

Le ZOB , Zébu Overseas Board - Antsirabe
Un placement original dans une banque de zébus

 

Dans les régions agricoles de Madagascar, le zébu à bosse est un symbole synonyme de richesse, de puissance et de développement pour les agriculteurs. La banque de zébus créée en 1990 par Stéphane Geay, qui ne manque pas d’humour !, offre la possibilité à qui le souhaite de prêter un zébu à une famille malgache, laquelle pourra ainsi labourer ses terres, avoir du lait, etc.

Via leur site : www.zob.mg la fine équipe de Mada vend de manière virtuelle un zébu ou une génisse à des souscripteurs, d’une valeur de 300€, pour les prêter aux paysans qui les remboursent sur une durée de 2 ans et en devenir en fin de parcours propriétaires. Le ZOB propose ainsi de faire passer les paysans d’une économie de subsistance à l’économie de marché. Chaque mois le crédit est remboursé par la vente du lait des génisses, des produits agricoles plus rentables grâce au labour, ou la location des charrettes à zébus… Pour chaque paysan souhaitant acquérir un zébu, le ZOB établit un plan de remboursement et audite le futur propriétaire pour s’assurer de sa fiabilité.

 

Parmi les derniers acquéreurs du cheptel de plus de 800 bêtes du ZOB, on aperçoit les noms de Chirac et de Strauss-Khan. A présent, le ZOB veut renforcer et pérenniser les acquis, il vient de créer la Zodev , une structure d’encadrement gérée par la commune et l’association qui proposera formations, idées de développement, diversification des produits, etc.…

Pour plus d’infos 

ou devenir l’heureux propriétaire d’un zébu
Visitez www.zob.mg et contactez zob@wanadoo.mg

 LE POISSON TILAPIA - Andranomena
Une pisciculture d’alevins dans un lac !

 

De bon matin, nous partons visiter avec Bernard la construction des cages de tilapias au bord du lac Alaotra. Cet ingénieur français nous explique de quelle manière il est possible d’introduire une pisciculture dans un lac. Cette activité, nouvelle dans la région, apportera aux paysans durant la période de soudure du riz (transition entre les deux récoltes de l’année) et la fermeture de la pêche, un complément de revenu, de travail et de nourriture.

Aujourd’hui, les cages fraîchement terminées sont mises à l’eau en présence de nombreuses personnalités du village et de la région. Depuis quelques mois, les paysans/pêcheurs ont été formés à la construction de ces cages en bois, rivées entre elles par des écrous et flottant avec de gros bidons en plastique et en aluminium. L’association Espace Fraternité lance maintenant une série de formations pratiques auprès des pêcheurs pour l’élevage des poissons. Car un important travail sur les mentalités est à effectuer. Surtout expliquer à la population locale qu’il faut préparer le lendemain… Les alevins doivent être nourris de manioc et d’arachide régulièrement mais il faut attendre 5 à 6 mois avant que les tilapias puissent être pêchés et vendus ! La particularité de ce projet réside dans le fait que l’élevage des alevins s’effectue dans un lac, que les cages ne nécessitent pas de matériel complexe et que la « pêche » peut s’avérer très fructueuse.

Si vous voulez aider Espace Fraternité, vous pouvez les contacter via :
Madame Colette Cadeumes
197, chemin de Pourquiers – 83140 Six Fours Les Plages
Ou envoyez vos dons :
(à l’ordre d’Espace Fraternité) à Jeannette Perez (chez Madame Perrin)
99 boulevard de la plage – 31120 Arcachon

Spiga d’oro – Ambatondrazaka
Des boulangères au service de la communauté

 

Spiga d’oro est une de ces entreprises où travail et bonne humeur font bon ménage. Cela se ressent dans les cuisines, une bonne odeur de cuisson se mêle aux sourires des dix employées, toutes de rose vêtues dans leur tablier. 
  

A Ambatondrazaka, au bord du lac Alaotra, la petite boulangerie-pâtisserie a ouvert ses portes il y a une quinzaine d’années, sous l’impulsion d’Albina Mazza, avec l’idée de créer une structure pas comme les autres. En effet si l’entreprise contribue à la formation, à l’épanouissement et à la dignité des femmes qui viennent ici apprendre un métier, elle est surtout la preuve qu’une société peut prospérer tout en participant de manière significative à la communauté. Depuis sa fondation, la boulangerie consacre 1/3 de ses bénéfices à la collectivité. Ainsi, chaque jour, elle distribue du pain aux cantines scolaires et participe à une association qui subvient aux besoins d’une centaine de familles les plus démunies.

Lorsque Joséphine nous accueille dans ses fourneaux, l’équipe est toute affairée à pétrir du pain, des viennoiseries, sécher des pâtes fraîches sur un tamis, préparer des lasagnes et même de la confiture.

La semaine prochaine, ces femmes recevront un diplôme d’état de boulangère, une reconnaissance supplémentaire de leur savoir-faire et une récompense qui vient couronner cette initiative originale.

Passez les voir à Ambatondrazaka et allez dégustez leurs délicieuses viennoiseries.
Elles seront toujours ouvertes aux nouvelles recettes que vous pourriez leur enseigner.
Pour les contacter :
Promotion féminine « Spiga d’Oro »
BP 109 - 503 Ambatondrazaka – Madagascar

Au global

La première chose que l’on peut changer dans nos habitudes, c’est le réflexe d’achat de produits issus du commerce équitable.

Aujourd’hui, tout le monde (ou presque) a entendu parler de l’Association Max Havelaar, fer de lance du commerce équitable, offrant une autre façon de consommer en assurant un revenu décent aux petits producteurs tout en protégeant l’environnement.
2 euros, c’est le montant annuel de nos achats de produits équitables en France contre 18 euros en Suisse.

Sur un paquet de café labellisé Max Havelaar, 21% du prix revient au petit producteur, soit le double par rapport à un café traditionnel. Dans le monde, les produits Max Havelaar permettent l’amélioration du niveau de vie de près d’un million d’agriculteurs et leur famille, soit 6 millions de personnes. Et puis, c’est aussi agir en achetant des produits d’origine biologique qui ne polluent pas la planète.

Pour plus d’infos sur Max Havelaar : www.maxhavelaarfrance.org

Voici quelques exemples peu communs de commerce équitable, qui peuvent nous donner de bonnes idées pour consommer mieux...

 Des jean’s équitables !
La marque de jean’s biologiques et équitables Kuyichi a été créée en 2000 par Solidaridad, une ONG hollandaise dont l’objectif est aujourd'hui de sortir le commerce équitable de l’ornière alternative pour en intégrer les principes dans la consommation courante.
La toile denim des jeans Kuyichi est en coton biologique certifié venant d’Ouganda, tandis que les T-shirts vendus par la marque sont faits à 70% de coton biologique péruvien. Kuyichi est également très attentive aux conditions sociales de production, elle encourage par exemple les producteurs actuels à devenir actionnaires de l’entreprise, et développe des relations avec des producteurs en Inde, en Turquie et en Tunisie qu’elle aide à obtenir la certification sociale SA 8000. Enfin, elle fait partie du réseau Made By, créé par Solidaridad, pour aider les marques textiles à rendre plus éthique leur chaîne d’approvisionnement.
Découvrez leur style super sympa sur http://www.kuyichi.com/
(bientôt vendus en boutique en France...)

 Des baskets équitables ! 
Veja est la première marque de baskets “bio et équitables”, pour rompre avec l’approche artisanale du commerce équitable et la faire entrer dans la consommation courante des jeunes citadins. Pour cela, le design est contemporain, inspiré d’un modèle vintage des années 70, et une distribution « branchée » (Le Bon Marché, Le Printemps Design, etc.).
Les baskets Veja sont donc fabriquées par une coopérative brésilienne, avec du coton biologique cultivé dans la région pauvre du Nordeste et du caoutchouc naturel récolté par des petits producteurs dans la forêt amazonienne. Les producteurs sont payés 30 à 65% de plus que les cours mondiaux, « grâce à l’économie des frais de publicité qui représentent couramment les trois quarts du prix sur ce marché », et le prix des modèles (75 euros) se situe dans la fourchette basse pour ce style de baskets. Cohérence oblige, Veja fait appel à une association d’insertion pour le stockage en France et espère pouvoir à terme compenser les émissions de CO2 liées au transport de ses produits.
Retrouvez les baskets sur http://www.veja.fr/

Le destin de deux jeunes entrepreneurs bénévoles... original !
Le foyer Nuestra Señora de la Misericordia est une institution catholique de la banlieue de Lima avec un orphelinat de 180 filles, un collège de 1.100 élèves et 2 formations professionnelles de boulangerie et de couture. « En juin 2001, raconte Mathieu Reumaux, j’ai visité la Misericordia , dans le quartier pauvre de Ventanilla, et j’ai remarqué que les vestes de survêtement des collégiens étaient très tendance ». Impulsivement, il propose aux neuf bénédictines qui gèrent l'établissement de commercialiser ces uniformes dans des boutiques européennes, avec l'intention de leur reverser les gains pour financer l'ouverture d'un centre d'action sociale à Yurinaki, au cœur de la jungle amazonienne. Au début, les sœurs se demandent qui sont ces deux hurluberlus !! Deux ans plus tard - miracle! - les survêtements au sigle brodé de la congrégation des filles de la Miséricorde sont vendus dans les concept stores les plus branchés, de Londres à Tokyo en passant par Paris, chez Colette. Sur chaque vêtement, une étiquette présente les principes humanitaires du projet. « Nous allons bientôt ouvrir une boutique sur Internet, raconte Aurelyen. Les bénéfices permettront d'améliorer les infrastructures du collège et les conditions de vie des enfants ». Et, bien sûr, de développer les emplois locaux. Toute la production est réglée à la commande et 37,50% du prix public (80 euros la veste et 45 euros le T-shirt) sont reversés aux sœurs péruviennes.
Ne manquez pas leur site et leur boutique sur http://www.misionmisericordia.com/

Alter Eco, la marque pionnière en France...

même au supermarché, consommez équitable !
Tristan Lecomte est le fondateur d’Alter Eco, la marque pionnière en France des produits issus du commerce équitable. Sensibilisé depuis toujours à la condition des petits producteurs, Tristan Lecomte décide en 1998 de créer Alter Eco pour ouvrir un premier magasin de produits dits « équitables ». Un second magasin ouvre rapidement, mais Tristan se rend rapidement compte des limites de l’expérience et comprend qu’il serait vain de vouloir réinventer la distribution… Sans hésiter, il crée alors Alter Eco, la première marque française de produits issus du commerce équitable à être vendue dans les grandes surfaces françaises. « Au début, le plus difficile fut de convaincre les grandes enseignes de l’existence d’un segment de marché émergent, avec de fortes perspectives de développement » confie-t-il. Il s’accroche et, après de nombreux refus, l’enseigne Monoprix se décide, la première, à lui faire confiance en 2001. L’augmentation des coûts d’achat de matière première étant compensée par l’économie de lourdes dépenses publicitaires, ses produits ne sont pas plus chers que les concurrents. Puis Cora, Carrefour et Leclerc se décident aussi à distribuer les produits Alter Eco, du café de Bolivie au riz de Thaïlande en passant par l’huile d’olive de Palestine…

Rendez-vous sur le site et la boutique www.altereco.com/ 
Remplissez vos paniers !

 The Body Shop – Une vision humaniste de l’entreprise

Dans son livre Corps et âme, Anita Roddick retrace l’histoire de The Body Shop, enseigne britannique de produits cosmétiques qu’elle a fondée en 1976. Véritable succès commercial, The Body Shop incarne surtout une vision humaniste de l’entreprise.
Lorsque Anita Roddick crée sa société, elle désire avant tout rester fidèle à son idée de l’entreprise « idéale ». C’est ainsi qu’en pionnière, elle affirme à l’époque que « la responsabilité sociale d’une entreprise implique une totale transparence, un code de conduite irréprochable, le développement de la philosophie humaniste, une protection de l’environnement… ».
On retrouve bien aujourd’hui ces principes dans les messages que The Body Shop véhicule auprès de ses clients : pas de tests en laboratoires sur les animaux, un commerce équitable avec les petits producteurs locaux de plantes, le respect de la femme dans ses différences, la défense de l’environnement et des droits de l’homme.
« Grâce à nos campagnes de communication avec la poupée Ruby, nous avons également contribué à réhabiliter le corps de la femme et le développement de l’estime de soi ». Bref, d’un point de vue général, avec The Body Shop, Anita Roddick a fait évoluer le langage du monde des affaires en y introduisant des termes comme « droits de l’homme », « justice sociale » et « respect de l’environnement »...

Retrouvez les cinq domaines d’action de The Body Shop sur http://www.thebodyshop.com

Nature&Découvertes – Un modèle d’entreprise engagée
Certains noms sonnent comme des destinées… et François Lemarchand est à l'image des magasins qu'il a créés. D'abord Pier Import, dont il rachète la filiale française, au bord de la faillite, dans les années 70. Il fait évoluer l'offre vers des objets authentiques, produits par des villages du monde entier, et pose les bases du commerce équitable. Le succès est au rendez-vous, mais la standardisation de ces produits artisanaux par la grande distribution à la recherche de prix bas, lui fait perdre son enthousiasme. Il finit par vendre l'entreprise, « une erreur, vis-à-vis des équipes, que je ne referai plus ».
François veut alors mettre sa famille au vert. Il envisage un temps de devenir agriculteur puis imagine des boutiques invitant les citadins à se rapprocher de la nature. « Nul n'était prêt à investir sur cette histoire, tout le monde me regardait comme un doux dingue ! ». Avec l'argent de Pier Import, il fonde Nature & découvertes en 1990. Vocation militante, équipe de passionnés, bâtiments écologiques, produits éducatifs souvent fabriqués par des artisans ou PME, animations pédagogiques gratuites pour petits et grands, fondation pour la protection de la nature qui reçoit 10% des bénéfices : Lemarchand a véritablement créé un modèle d'entreprise engagée. http://www.natureetdecouvertes.com

Astuce ! Aidez en payant vos factures...
Equitel ou la conviction que le commerce solidaire est le commerce de demain....
Equitel propose un concept unique, déjà validé par le Ministère des Finances, qui apporte la possibilité de convertir un avantage offert par une entreprise à son client en don déductible.
Neuf Telecom fut la première entreprise avec laquelle Equitel conclut un accord de partenariat, afin de proposer une façon simple et efficace de bénéficier de tarifs compétitifs tout en soutenant un projet de solidarité. Neuf Telecom offre désormais à ses clients une économie de 8 € par année de fidélité, qu’ils peuvent convertir en don pour l’une des associations partenaires d’Equitel. Dans la pratique, 7 clients sur 10 font le choix de la solidarité. C’est ainsi qu’Equitel facilite l’engagement solidaire en l’intégrant à un acte de consommation, sans induire d’incidence sur la performance tarifaire du service. Elle permet aussi de concrétiser l’engagement pris par le client en proposant une sélection de projets précis (déclinés sur 4 grands thèmes : l'enfance, la malnutrition, la recherche médicale et l'environnement) et des retours d’informations réguliers sur leur évolution. Enfin, elle utilise les factures pour transmettre à ses clients des messages sur des problèmes sociaux ou environnementaux.
Vous aussi, participez à des projets de développement en payant vos factures... :
http://www.equitel.fr/

Publié dans Economie solidaire

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E
<br /> <br /> Plus il y a de développement industriel et manufacturé au nord de la planète, il n'y aura pas vraiment de répit pour l'hémisphère sud  car les fossiles sont de sorti......<br /> <br /> <br /> Les nouvelles structures sociales prennent places , s'intrègrent dans l'environnement de toutes les couches des civilisations nouvelles du  3 ème millénaire .Elles remplaceront nos vieilles<br /> idées ancrées depuis des temps sans fin car aujourd'hui,il n'est plus temps de faire n'importe quoi, le réflexion est de rigueur, les hommes meurent de faim et du manque de bonheur, indispensable<br /> à l'être humain.<br /> <br /> <br /> <br />
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